carteperPendant5 semaines, du 6 juillet au 10 août 2000, nous sommes partis au Pérou pour réaliser l'ascension de 3 sommets de la Cordillère Blanche, le Pisco (5750 m) le Chopicalqui (6354 m) et l'Alpamayo (5947 m). Durant la dernière semaine de ce séjour nous sommes allés plus au sud du pays pour visiter la fabuleuse cité Inca du Machu Picchu. Dans ce site vous trouverez une partie récit de notre aventure et une partie moins romancée contenant tous les détails pratiques de l'expédition puis une galerie des photos que nous avons rapportées d'Amérique du Sud.

Au sommet du Chopicalqui"Nous", c'est sept jeunes de 21 à 26 ans, cinq élèves de l'Ecole Polytechnique de Paris, un enseignant et une étudiante en médecine : Aurélie Loireau, Luc Deshayes, Quentin Diot, Gilles Hoang, Alexis Loireau, Sébastien Plumet, et Philippe Sikora. Depuis plusieurs années passionnés de montagne, nous pratiquions l'alpinisme sous plusieurs de ses formes. L'Ecole Polytechnique nous a réunis et au fil de nos sorties de ski de randonnée, cascade de glace, goulottes, alpinisme classique ou escalade, s'est monté un projet et une équipe soudée pour partir dans la Cordillère des Andes. De décembre 1999 à juillet 2000 nous avons monté l'expédition : recherche de sponsors, achat du matériel spécifique aux froids intenses que nous pourrions rencontrer à 6000m, collecte des informations de tourisme ou de montagne afin de réussir au mieux notre voyage. En janvier, le programme est arrêté, prévoyant juste ce qu'il faut de plages de repos entre les sommets et susceptible d'être modifié sur place en fonction des conditions. Il prévoit cinq semaines au Pérou : une semaine de trek et d'ascension du Pisco pour s'acclimater, une semaine d'ascension du Huascaran, une semaine pour celle de l'Alpamayo, enfin une semaine pour le trek menant au Machu Picchu, les 7 jours restant étant utilisés pour les liaisons ou les périodes de repos. Début février, les billets d'avion sont réservés : nous partons le 6 juillet 2000 à 7 heures du matin pour Lima. Retour le 7 août suivant.

L'arrête terminale du Pisco